Privés de subventions, les Jardins de Cocagne pourraient perdre 140 emplois

Il est un peu plus de 8h30 lorsque Rose, couteau à la main, part récolter des salades. Dans une serre d’un demi-hectare, elle travaille depuis deux mois aux Jardins du Ricotier, à Fenouillet, au nord de Toulouse. Comme douze autres personnes, elle bénéficie d’un contrat d’insertion sur le site, qui lui permet de renouer avec l’emploi, l’autonomie et la stabilité.
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